Tous démocrates, vraiment ? Ces dérives de l’extrême gauche trop souvent passées sous silence

Des années trente jusqu’aux années soixante, le mot d’ordre « Le fascisme ne passera pas » permettait de juger du Bien uniquement par sa distance avec le Mal unique, le fascisme.

Ce point de repère permettait à l’extrême gauche d’apparaître comme l’extrême bien.

Et puis, on a fini par admettre que le communisme était une autre forme du Mal

Si on écoute le tribun d'extrême gauche français qui sert de cache sexe et de viagra au gauchistes de tout poil, on l’entend appeler à la révolution (citoyenne), vouloir reprendre la Bastille, chanter l’Internationale, faire agiter les drapeaux rouges etc.

Or, sa révolution, c’est le renversement d’une société fondée sur les droits de l’homme.

Reprendre la Bastille, c'est-à-dire la reconstruire, c’est pour y enfermer qui ? Quels ennemis? Quels salauds ? Les financiers ? Les riches ? Les contre-révolutionnaires ? Les tièdes ?

Et nous sommes piles dans les élucubrations anti démocratique des agitateurs, grassement entretenus et subventionnés par nos institutions, de "Réseau d'agitation Genève".

Ces extrémistes des bons sentiments n’ont jamais répudié leurs fondamentaux, et la preuve en est que les drapeaux rouges et l’Internationale les font pleurer d’émotion.

Notre droit démocratiquement voulu par la population doit il continuer de permettre à ceux qui prônent terreur, destructions, saccages, etc. de sacager notre société ?

Bref, ont ils un cautionnement réel des citoyens électeurs, travailleurs et honnêtes ?

Je me réjouis déjà de lire les commentaires....

Texte inspiré de cette parution: www.atlantico.fr/decryptage/ces-derives-extreme-gauche-passe-silence-andre-senik-388513.html#iP2kYPUGyieOC3be.99